mardi 21 janvier 2014

Article




1) Ce que le blog est au blogueur
Plus qu’un espace de retransciption de pensées, le blog est au blogueur ce que la plume est à l’écrivain.
Comme la photo peut devenir un cadre que l’on accroche au mur, comme la poésie peut donner naissance à un recueil de nos émotions, comme un enchainement de notes forment une chanson, le blog peut désormais devenir un livre. Réel, palpable et authentique, il est le portrait mental de son auteur, un objet physique et sentimental qu’il est désormais possible de ranger dans sa bibliothèque.
2) Et si une force extraterrestre devenait la cause d’un bug informatique planétaire ?
Bien sûr, l’idée semble farfelue. Toutefois, extraterrestres ou non, il n’est pas exclu qu’un jour le système informatique de notre pays subisse des problèmes amenant à la suppression de nos données personnelles (Réseaux Sociaux, blog, etc.)
Sachant qu’un fort pourcentage de nos souvenirs se trouvent sur internet, il serait peut-être judicieux d’en conserver quelques-un sous forme de livre !
3) Protection de l’environnement, OK !
Car chez BlookUp, nous utilisons du papier recyclé pour fabriquer vos livres ! What else ? À part courir sur blookup.com pour réaliser votre blook. Et au passage, faites-en une version ebook histoire de ne pas mettre au placard vos chers et tant aimés outils numériques.


Les réseaux sociaux occupent une grande place dans nos vies et ce un peu plus chaque jour. Grâce au social blook, transformez votre profil Facebook en livre ! Conservez une trace physique de votre vie sociale numérique, remplie d’échanges, d’anecdotes et de photos.
Répertoriez ainsi des tas de souvenirs dans un livre qui vous représente, anticipez une éventuelle future perte de vos données numériques et faites, pourquoi pas, la promotion du livre de votre Facebook sur notre BlookShop.
BlookUp ne s’arrête pas là !
Très prochainement, vous pourrez voir apparaître de nombreux autres réseaux sociaux parmi la liste des plateformes imprimables sur blookup.fr.

vendredi 2 mars 2012

Hommes vs Femmes



Comme l'a si bien écrit John Gray dans « Les hommes viennent de Mars les femmes viennent de Vénus », hommes et femmes sont deux entités très différentes.

Chaque femme a mainte fois tenté de comprendre son homme et comment ? En lui répétant chaque jour les mêmes choses comme si elle s'adressait à un enfant de 5 ans. Grossière erreur. L'homme entend et enregistre (parfois), mais s'il se sent forcé ou contraint, alors il n'agira pas.
En retour, chaque homme a mainte fois tenté de rassurer sa femme et comment ? En baragouinant deux - trois mots tels que « Tu as toujours quelque chose, ça ne va jamais, si je ne t'aimais pas je ne serais pas là. ». Bref...

Une chose qu'il n'est pas faute de savoir. Les hommes savent être négligents, alors que les femmes ont tendances à trop donner et à attendre en retour. La solution ? Pour lui : écouter plus et cessé de se contenter de recevoir - pour elle : s'écouter moins et se contenter de ce qu'elle reçoit (quitte à moins donner).

A vrai dire, je ne suis ni psychologue ni thérapeute, je suis simplement en couple.

Le fait est que comprendre les différences entre les deux sexes peut apporter beaucoup dans un couples dont la réponse à beaucoup de questions que l'on se pose en abordant la vie à deux.
Si à travers les âges, hommes et femmes n'ont cessé de s'aimer et de se déchirer, c'est que la vie est faite ainsi. Alors, au lieux de crier aux défauts de celui ou de celle que l'on aime, peut-être devrions-nous clamer nos différences comme une force et non comme un handicape.

Ce n'est pas pour rien que l'on dit « Pour le meilleur et pour le pire. ». Libre à vous de ne prendre que le meilleur...



vendredi 3 février 2012

Ma relation Homme / Machine



Aujourd’hui, il ne s’agit plus de savoir comment l’homme va s’adapter à la machine mais plutôt comment il pourrait faire sans ?
Je suis trop catégorique me direz-vous ? Non, je suis GEEK ! Mon téléphone et moi, c’est une grande histoire d’amour. Quant à ce cher ordinateur portable, n’en parlons même pas… Mes comptes Twitter, Facebook, Viadeo, Yummypets et Google+ peuvent en témoigner.

Cependant, la vie dite « sociale » ce n’est pas ça en effet. Il paraît que beaucoup de personnes s’expriment plus par le biais des réseaux sociaux que dans la vrai vie. Là, j’ai envie de dire STOP ! Avoir capté la réelle utilité et un certain divertissement qu’un réseaux social peut apporté est une chose, ne vivre qu’à travers lui en est une autre.
Ton compte Facebook t’a-t-il déjà proposé une sortie cinéma ? Un bon petit restaurant ? Une soirée jeux de société ?

L’identité numérique ne dois pas empiéter sur l’identité propre, la personne. Twitter va permettre de se faire un bon carnet d’adresse, de suivre des personnes intéressantes, mais ce que l’on décide d’en faire ne vient que de notre personnalité. Un compte Facebook va nous  permettre de retrouver des anciens amis, de chatter avec des potes, d’espionner telle ou telle personne (si si), mais là encore le degrés de vie privée que l’on veut bien montrer ne dépend que de nous. Quant à Viadeo, ce n’est que le curriculum vitae de nos acquis, mais ce que l’on a appris jusque là, on ne le doit pas à internet.

La toile c’est super, mais l’identité numérique n’est qu’une seconde peau.


Bref, je suis Geek et j’assume.
Mais j’ai une vie après les réseaux sociaux.

vendredi 27 janvier 2012


Sa Sainteté le Dalaï Lama, mieux qu’un people, un homme bon.



On idolâtre toutes sortes de célébrités, des chanteurs, animateurs, danseurs, acteurs, etc. Je note qu’il n’est pas souvent mentionné comme le Dalaï Lama est un homme dont on peut être « fan » et à juste titre.

Il suffit de lire ses ouvrages. Lorsque l’on est dans une certaine détresse émotionnelle, que l’on souhaite comprendre l’homme ou mieux accepter autrui, qui de mieux qu’un fervent prôneur de la paix pour nous y conduire ?
Je pense que ce genre de pensées ne sont pas suffisamment communiquées dans notre société. Le respect entre les religions, la compassion envers son prochain, la recherche du bonheur autrement que de façon égoïste… Ce bouddhiste, grâce à des années de pratiques spirituelles, a atteint un seuil de compréhension et d’humanité envers son prochain que nul homme ne pourrait avoir la prétention d’atteindre en quelques années, voire même en toute une vie. C’est quelque chose que l’on a en nous mais qu’il faut savoir développer.

Je n’ai, personnellement, que d’admiration pour cet homme. Et s’il m’était demandé aujourd’hui et pour les années à venir « Quelle est votre personnalité préférée ? », je répondrais sans aucun doute « Sa Sainteté le Dalaï Lama ».

Etre compatissant nous rend meilleur, être meilleur nous rend heureux.


Quelques ouvrages pour adoucir le quotidien :
« L’art du bonheur » de Sa Sainteté le Dalaï Lama et d’Howard Cutler
« Conseils du cœur » de Sa Sainteté le Dalaï Lama
« Le petit livre de sagesse du Dalaï Lama » de Bernard Baudouin
« Les voies spirituelles du bonheur » de Sa Sainteté le Dalaï Lama

jeudi 26 janvier 2012

Je ne savais pas qu'il était possible de nommer "tradition" un acte aussi barbare.

Si au moins une fois, taureau et toréador échangeaient leur place, alors peut-être l'homme comprendrait-il qu'il n'est pas humain d'agir de la sorte. C'est à se demander lequel des deux est le plus un animal.


La brutalité animale n'est pas condamnable que lorsqu'il s'agit d'espèces protégées ou d'animaux de compagnie, ce jugement est valable concernant toute maltraitance gratuite envers un être vivant quel qu'il soit. Il devrait être interdit de s'adonner à ce genre d'activité cruelle et sans aucun état d'âme. Prendre la vie n'est pas un jeu, c'est encore moins une tradition. Ce n'est tout au plus que le résultat d'une frustration humaine laissant croire que l'on peut passer le temps en assassinant et en humiliant un taureau innocent.


Il m'est difficile de croire que le toréador puisse gagner à la fin face à une victime plus forte que lui et sans nul doute, plus intelligente.

Vous devriez vous voir, à rire de la souffrance d'une pauvre bête...

...L'HOMME EST MÉPRISABLE

mercredi 25 janvier 2012

L’ACHAT SUR INTERNET, AMI OU ENNEMI ?




Et oui, je suis coquette et je sais pas vous, mais moi toutes ces cures de blanchissement des dents ont attiré mon attention. Fort heureusement, je suis en général plutôt prudente, j’ai donc tapé « Britensure » sur la toile et que vois‐je ? Des tonnes de témoignages plus désespérés les uns que les autres !

Je m’explique.
En allant sur le site, une cure d’essaie de deux mois nous est proposée. Il suffit de mettre son nom, son adresse et très important, un numéro de carte bancaire afin de répondre aux frais d’envoie de 4 euros 95. C’est alors qu’on est automatiquement abonné et rapidement prélevé d’une somme d’environ 60 euros (mensuelle) sans même avoir eu le temps de tester la cure d’essaie. Alors, forcément, on crie au scandale ! Surtout si personne ne répond lorsque l’on appelle pour se désabonner avant la date buttoir…

Standard saturé ?

Il est vrai qu'une cure de deux mois pour la maudite somme de 4 euros 95 est une tentation à toutes épreuves. Mais enfin mesdames, un blanchissement des dents aussi « efficace » pour moins de 5 euros ?! Nous vivons dans une société où rentabilité est le mot d’ordre ! Prenez garde aux petites lignes.





Et si vous essayiez le code bancaire temporaire ?

mardi 24 janvier 2012


Je t'aime mais tu me tues...
On est conscient du sida, mais on l'attrape quand même ; on est conscient de l'obésité, mais on mange quand même trop ; on sait que fumer revient à se suicider « à petit feu », mais on fume quand même, laissant derrière nous enfants, famille, amis.

Se dire que la vie ne tient qu'à un fil nous fait l'aimer encore plus, alors expliquez moi ce qu'un consommateur de tabac peut bien se trouver comme excuse en réponse à cette nuisance volontaire ? Les mêmes excuses qui reviennent… « Il faut bien mourir de quelque chose », « la vie est courte », « mon père a fumé toute sa vie et n'est décédé qu'à 90 ans », « j’arrêterais un jour » […] Croyez moi, elles ne durent que le temps de la bonne santé, arrivés les malheurs, ces idées là nous paraissent telles de stupides erreurs que l'on aimerait rattraper.

Un cancer du poumon ne nous choisit pas, c'est nous qui le choisissons.

Un fumeur de tabac, contrairement au consommateur de marijuana, peut pratiquer en toute liberté, c’est un acte du quotidien ni plus ni moins. Le ministère de la santé se déculpabilise en mettant des mise en gardes sur les paquets : écritures chocs, photos explicites… Ne pas réagir face à « fumer tue » est une chose triste, mais ne pas réagir face à « fumer nuit à la santé de son entourage », c'est criminel. On apprend pourtant à lire.

Cette société me désole.



Vivre pour ceux qui n’ont pas eu conscience suffisamment tôt qu’ils avaient le choix de vivre.


...M.J.G. - P.G. - G.M. - A.D...